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30/05/2014

31 Mai 2014

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Christophe ALEVÊQUE : « La dette ? On lui fait sa fête ! » Le 31 mai prochain, l’humoriste Christophe ALEVÊQUE vous invite à la « fête de la dette » et au « grand bal de la dette ». Les recettes de cette soirée d’éducation populaire serviront à soutenir les actions de solidarité Secours populaire français.

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Christophe ALEVÊQUE.jpgChristophe Alévêque soutient le SPF
et s'engage dans l'éducation populaire.

La « fête de la dette », qu’est-ce que c’est ?

C’est une soirée d’éducation populaire sur les enjeux de la dette publique. Je veux faire entendre une pluralité de points de vues, que chacun puisse se faire son idée. Ce n’est surtout pas quelque chose de partisan. Cela se déroulera en deux parties : A 19 h, j’animerai le « tour de la dette en 80 minutes ». Ce sera un spectacle avec de nombreux invités, en particulier des économistes citoyens qui apparaissent rarement dans les médias. Ensuite, à partir de 20 h environ : on danse ! On chante ! On s’amuse au « grand bal de la dette », dans un décor de guingette et avec des musiciens. Parmi les guirlandes, les ballons multicolores et les lampions, des invités surprises se joindront à nous, dont le parrain de la soirée, Guy BEDOS [l’humoriste est aussi l’un des parrains du SPF].

Comment vous est venue l’idée d’une « fête de la dette » ?

Nous entendons partout : la dette, c’est de votre faute ! Il faut tout y sacrifier ! C’est la culpabilité. C’est l’angoisse. C’est la transe. Du coup, nous ne faisons pas assez attention à la petite musique des experts, qui sussurent : « On s’occupe de tout. C’est trop compliqué. Il faut vous résignez… » C’est notre dette, oui ou non ? Bon, donc, il faut se l’approprier si nous voulons trouver une solution. Alors, on s’assoit et on réfléchit : à quoi ressemble-t-elle, cette dette dont tout le monde nous parle ? D’où vient-elle ? Peut-on, ou ne peut-on pas, la dégonfler gentiment ? Bref, le 31 mai, on apprend, on s'amuse et on est solidaire.

Pourquoi avez-vous tenu à soutenir le Secours populaire ?

Pour moi, comme pour toute l’équipe, qui organise cette soirée, il est hors de question de faire de l’argent avec cette initiative. Nous sommes tous bénévoles et notre devise est : festivité, civilité, solidarité ! En terme de solidarité, le Secours populaire se pose là, non ? Il est incontournable dans la société. Je suis l’un des parrains de sa grande tombola, le Don'actions, qui a lieu chaque année.

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